Sacrifice box de Martin Stewart
1982: l'été se termine sur l'île de Hill Ford. Sep, Mack, Arkle, Lamb et Hadley veulent rendre ces vacances partagées mémorables et enterrent chacun un souvenir dans un coffre trouvé dans la forêt.
Sep dicte les règles à suivre: ne jamais venir au coffre seul, ne jamais l'ouvrir la nuit et enfin ne jamais récupérer son sacrifice.
Les années passant, le collège a séparés les cinq amis, même s'ils se croisent tous les jours. D'étranges événements, de plus en plus sombres, surgissent, les obligeant à renouer contact. Une question se pose: qui a bravé les règles ?
Sacrifice box est assurément un roman d'ambiance: martin Stewart excelle à créer une atmosphère sombre et pesante. Au fil de la lecture, s'y ajoute une bonne dose de violence et d'hémoglobine. J'avoue que je n'oserais pas le prêter à ma nièce ado.
Les chapitres sont brefs, ils s'intéressent à l'un ou l'autre personnage (je m'y suis parfois perdue) et voyagent entre passé et présent, dévoilant peu à peu l'histoire, sans faire vraiment la lumière.
Le récit est prenant mais en le terminant, bon nombre d'interrogations subsistent et gâchent un peu le plaisir de lecture. En conclusion: un avis en demi-teinte.
Commentaires
Bises, Syl.