Roman de Nathalie Rheims

Merci à Gilles Paris et aux Editions Léo Scheer pour ce partenariat.

Lancée dans un dialogue avec le Diable, Nathalie Rheims s'adresse à lui à travers un objet acheté dans une brocante, un encrier en bronze représentant Méphistophélès.  Les signes ne manquent pas, de l'incendie de Notre Dame à la pandémie: la marque du Diable est présente.

Marquée par la dernière cérémonie des Césars, elle décide alors de le personnifier dans une figure médiatique hautement controversée.  Roman sera le titre de son livre.

Nathalie Rheims choisit d'y décortiquer le parcours du cinéaste, d'abord gamin au cœur du ghetto de Cracovie.  D'abord son histoire plus ou moins tue, ensuite son œuvre: le Pianiste, Tess, Rosemary's baby entre autres.  Nouant destin, cinéma et âmes perdues dans un texte oscillant entre témoignage et essai, un livre aux allures de pari.


Commentaires

Anonyme a dit…
Quand j'achète un objet dans une brocante, je me demande toujours s'il a conservé un peu de son vécu. Parfois, je reste sur mes gardes et je n'achète pas. Alors, un encrier avec une tête de diable... non merci !
S.

Posts les plus consultés de ce blog

Attraper la course de Lorenzo Mattotti

Cookies au beurre de cacahuètes

Les racines secondaires de Vincent Fortier